CSI New York, The RPG
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New York. Le mal trépigne d'impatience derrière les grands murs de la Big Apple. L'équipe du lieutenant Mac Taylor enquête.
 
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 Petit message à faire passer ( Sasha D.P )

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2 participants
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Katherina Rovere

Katherina Rovere


Messages : 14
Date d'inscription : 12/12/2011

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MessageSujet: Petit message à faire passer ( Sasha D.P )   Petit message à faire passer ( Sasha D.P ) Icon_minitimeMer 14 Déc - 18:40

Il est étonnant de voir comme une perruque blonde, des lentilles de contact, un peu plus de maquillage, combiné à un fort accent Allemand, imité, pouvait facilité la vie à une fugitive. D'ailleurs c'était le cas de Katherina qui aujourd'hui était Stefani – prononcé Schtefani – Hoffmaster, photographe Allemande travaillant dans un grand journal, et habitant aux USA depuis quelques mois. Oh bien sur la réelle Stefani reposait dans le congélateur de sa cave, et c'était Katherina qui jouissait de son identité maintenant, de sa carte de presse ainsi que de son matériel photographique. Ce matériel, parlons en. Les appareil de la défunte photographe étaient impressionnant et correspondait tout à fait à Katherina, ou Stefani, pour prendre des photos de la personnes dont elle voulait se venger. Que ce soit de loin ou un peu plus près en se faisant passer pour une touriste. Mais enfin bref …

Les deux derniers jours avaient été chargé. Dans un premier temps elle avait dû avoir recours à certaines faveur de la part d'ancienne connaissance pour savoir où était la femme qu'elle voulait anéantir, et pour avoir des renseignement sur cette Russe devenue Américaine, et travaillant maintenant pour le FBI. Ce qu'elle apprit, vraiment très peu mais suffisamment à son goût, fût vraiment très intéressant et elle peut alors passer à la deuxième phase de son plan. En quoi consistait cette phase ? Tout simplement à prendre des photos de l'agent spécial Pavlov, pendant qu'elle travaillait, qu'elle faisait du shopping, ou même chez elle, alors qu'elle passait devant ses fenêtres. Mais pourquoi ? Aaah, ça vous le saurez en temps et heure pour le moment contentez vous d'écouter.

Katherina était tout excité, d'ailleurs la chanson « I'm so excited » des pointed sister passait à la radio, elle allait enfin pouvoir commencer son jeux. La belle s'était mit dans la peau de la photographe Allemande et marchait tranquillement en direction d'un café qui se trouvait non loin du palais de justice. La belle tenait une enveloppe à la main, dans laquelle se trouvait des photo de l'agent spécial Pavlov, et au dos était écrit le simple mot Lucie. Mais nous reviendrons sur ce détail plus tard. Notre Italienne, ou plutôt Allemande sur le coups, s'installa à une table et commander un café, qu'elle dégusta, tout en ne perdant pas des yeux le palais de justice. Et ce ne fût qu'une fois qu'elle eu repéré ce qu'elle cherchait, que la belle bougea.

Katherina marchait d'un pas lent, voyant l'agent spécial Sasha D.Pavlov plusieurs mètre en face d'elle. Là elle percuta une jeune femme brune, et s'excusa. La jeune femme lui rendit son enveloppe et Katherina s'éloigna, souriant. Une fois arrivée au niveau de l'agent Pavlov, elle lui tapota légèrement sur l'épaule et dit, avec un fort accent Allemand

« Entschuldigung … heu une jeune femme ma demandé de vous remettre ceci. »

Sur elle lui tendit l'enveloppe, feignant d'être gêné.
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Sasha D. Pavlov

Sasha D. Pavlov


Messages : 8
Date d'inscription : 10/12/2011

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MessageSujet: Re: Petit message à faire passer ( Sasha D.P )   Petit message à faire passer ( Sasha D.P ) Icon_minitimeMer 14 Déc - 22:14




    Au fond de l'étroite pièce, plongés que nous étions dans une obscurité semi pesante, je pouvais aisément voir cette forme trapue et corpulente trembler. Le corps du fonctionnaire s'agitait nerveusement sur le sol crasseux et souillé par bon nombres de bactéries et moi, j'éprouvais une indifférence morne, toisant l'homme d'un regard chargé de haine et de mépris. Derrière moi, la présence de mon paternel se faisait sentir, presque opressante, voire déstabilisante. Les battements de mon coeur commençait à s'accélerer alors que je m'approchai du condamné. Au fond de moi, je savais que je n'arriverai pas à commettre cet acte...et pourtant, l'incommensurable volonté de mon père finissait de se répandre dans mon âme de brebis égarée. Encore quelques pas, et je pourrai presque sentir l'odeur de sueur, mais aussi de terreur. Cet arôme infecte qui enrobait l'air d'une consistance tendue. "Fais le" La voix grave de mon paternel n'était plus qu'un murmure au creux de mon oreille. Faire quoi? Avec le calibre 9mm tenu fébrilement entre mes deux mains, il n'y avait plus aucun doute possible sur l'acte que je m'apprêtai à commettre. Mais devais-je réellement le faire? Qu'avait-il mérité pour mourir? Cet homme, était-il coupable de quelque chose? "MAINTENANT!" Un sursaut, un geste de trop, un délick et le coup parti tout seul. Mon doigt avait sursauté sous la gachette et la balle était inexorablement partie s'insérer dans la poitrine de l'adulte. Derrière moi, un jubilement rauque se fit entendre. Comment pouvait-on se réjouir de la mort d'un innocent? Au fond de moi, cette boule infecte de culpabilité et de honte commençait à se développer, se répandant telle une épidémie à travers chaque parcelle de mon corps, m'envahissant d'un sentiment de malaise qui me donnait envie de vomir.


    TUT TUT TUT TUT...

    HEIN? Quoi? Qu'es...ah! Ca n'était qu'un rêve...enfin, plutôt un cauchemar. Allongée sur le lit dans une position qui soulignait l'importance de mon agitation tout au long de cette nuit, je sentis les vicieuses courbatures du matin attaquer chaque muscle de mon corps alors que je me laissais tomber sur la moquette, gémissant de douleur. Quel douloureux réveil! A genoux sur le doux tapis gris qui recouvrait le sol, je dus m'y prendre à deux fois avant de pouvoir me relever sans me briser le dos. Quelle heure était-il? 9h00 et on était dimanche... Un jour prompt à régler quelques affaires hors boulot.

    Entrant dans la salle de bain, je ressortis au bout d'une vingtaine de minutes, prête pour amorcer cette journée qui s'annonçait bien longue. Comme chaque matin, après m'être appliquée une crème hydrante parfumée à la coco, j'avais opté pour un jeans slim dont les pans étaient engloutis par une paire de bottes brune en cuir qui remontait jusqu'en dessous des genoux. Un fin sous pull noir à col roulé me tiendrait chaud pour la journée, mais par prudence, je pris longue veste noire que j'enfilais avec lenteur. Celle-ci cachait le calibre 9mm qui était accroché à ma ceinture ainsi que la plaque de police. D'apparence extérieur, cette veste laissait présager une fine texture qui ne pourrait conserver la chaleur du corps, mais à l'intérieur, une relativement épaisse couche de dain me tenait chaud. Ainsi prête de la tête aux pieds, munie de monsac à bretelle que je laissai pendre en diagonale sur mon épaule, je pris la direction des escaliers qui annonçait une longue descente de 5 bonnes minutes. Avoir un appartement au 15ème étage n'est souvent guère pratique.

    L'hiver, je pouvais en ressentir les prémices à la première bouffée d'air inspirée au plus profond de mes poumons. L'air glacé pétrifia ma respiration aux premières bouffées goulument avalées et je dus m'y reprendre à plusieurs fois avant de pouvoir m'habituer à cette atmosphère cristalline. Bien que je n'ai opté pour des caches oreilles, les battements de ma longue crinière brune contre mes oreilles suffisaient à les garder plus ou moins chaudes. Dimanche matin, comme à chaque semaine, je constatai que beaucoup aimaient pieuter jusqu'à tard dans la matinée avant d'oser sortir du lit. Après tout, quoi de plus normal? Mais élevée dans une famille où les traditions restent fermement ancrés dans votre âme, j'avais pris l'habitude depuis mon enfance de me lever tôt chaque matin, quelque soit l'heure à laquelle j'allais me coucher.

    "Hot dog bien chauds, hamburgers délicieux et pas chers!"

    Au loin, la voix sourde et indiffère d'un vieil étranger résonnait sur la place du centre ville. Pas loin s'élevait l'imposant palais de justice. Mais alors que j'escomptai m'engouffrer dans une ruelle, je sentis quelque chose me tapoter subitement l'épaule. Les muscles de mon corps se bandèrent instantanément, mais je fis de rien en me retournant vers un joli brin de femme au teint bronzé. Intriguée mais méfiante, je fixai la jeune femme d'un oeil curieux, les mains toujours fourrées dans les poches de ma veste.

    Une lettre?
    Curieux...voir suspect. Néanmoins, je pris la lettre d'une main sans l'ouvrir. Qui sais, peut-être était-ce une lettre piégée? Un de mes collègues avaient déjà été confronté à ce genre de coup plutôt vicieux et je ne voulais pas me risquer sur le terrain. Tiens, je reconnus cet accent russe...mais quelque chose me chiffonnait. J'étais presque certaine d'avoir déjà croisée cette femme quelque part...mais où? Extérieurement, je fis mine d'être surprise alors qu'au fond de moi bouillonnait cet instinct de méfiance.

    "Ein Brief für mich? Sind Sie sicher?"questionnai-je, intriguée, ma voix laissant transparaître clairement mon accent Russe.

    L'Allemand n'était pas une langue inconnue pour moi. Après des années de pratique, je la maîtrisai plus ou moins correctement et ne pouvais rougir devant des originaires germanophones. Mordillant le bout de ma lèvre inférieure, je tenais toujours délicatement cette mystérieuse lettre. Une chose m'intriguait...un détail imparfait qui explose au visage du connaisseur.

    "Allemande? Je ne reconnais pas cet accent...je vous aurai plutôt crue originaire des pays du sud de l'Europe miss..."

    On a beau vouloir apprendre un accent étranger, il demeure toujours dans notre voix l'accent de notre Patrie...indéniablement!

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Katherina Rovere

Katherina Rovere


Messages : 14
Date d'inscription : 12/12/2011

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MessageSujet: Re: Petit message à faire passer ( Sasha D.P )   Petit message à faire passer ( Sasha D.P ) Icon_minitimeJeu 15 Déc - 8:39

    Vous ne comprenez pas trop pourquoi Katherina se donnait tant de mal pour pendre des photos d'une femme, travaillait au FBI, et d'origine Russe ? Et bien nous allons vous expliquer tout ça, ne vous inquiétez pas. Alors commençons au tout début, ça vous va ? Bref. Katherina menait une vie tranquille aux States, loin des mandats d'arrêts Européens. Mais il a fallut qu'une agent du FBI soit intéressait par ces meurtres, qui ressemblait beaucoup à des contrats. Et voilà que plusieurs mois après la porte de son appartement était fracassé et elle se retrouvait avec les menottes direction la prison, et un juge. La prison à vie ! A cause de cette …... d'agent du FBI, Katherina avait écopé de la prison à vie ! Jamais Katherina n'avait était autant blessé, au niveau de son amour propre et de son orgueil. Elle qui avait réussi à échapper aux flics pendant toutes ces années, se faisait avoir par une agent du FBI qui débarquait tout juste de Russie. Non, c'était pas possible, sur le moment elle se dit que c'était un mauvais rêve. Sauf que voilà, dans sa cellule d'une des prison fédéral de l'Etat de New York, face à son plateau repas peu ragoutant, Katherina prit une énorme claque en se disant qu'elle allait passer le reste de sa vie ici. Non, c'était tout bonnement impossible. Pendant sept année elle prépara son évasion et imagina tous les scénarios possible et imaginable pour se venger de cette saleté d'agent fédérale. Mais vous comprenez pourquoi elle la prenait en photo ? Non toujours pas ? Rah, franchement. Enfin, pour vous nous allons faire un effort. Le plan était simple faire peur à cette agent du FBI, lui faire comprendre que dehors il y avait une personne qui la suivait, qui l'épiait et qui pourrait lui tomber dessus à tous moments. Katherina avait aussi prévue de s'en prendre aux proches de l'agent Pavlov, comme ses collègues. Mais nous vous raconterons ceci une autre fois …

    Face à l'agent du FBI à cause de qui elle avait perdue sept années de sa vie, Katherina sentait une envie de meurtre monter peu à peu. Elle avait envie de l'attraper à la gorge et de l'étrangler, ou bien de la poignarder à plusieurs reprises, pour finir par la laisser se vider de son sang. Mais elle devait se contrôler. C'est pourquoi elle répondit à la question de son interlocutrice, d'une voie douce – qui correspondait à son personnage présent,

    « Ja ich bin sicher »

    Tout cela aurait été trop beau si son interlocutrice n'avait pas eu de doute sa ses origines Allemandes. Bon si elle devait avouer quelque chose c'est qu'elle était une connaisseuse car bien des gens se laissaient avoir par de tel accent. Mais elle, non. Alors la question qu'elle lui posa ne la surprit absolument. Franchement elle était forte, accent du Sud de l'Europe, bingo. La belle feigna un peu gêne et répondit,

    « Offmaster … vous avez raison, mes parents sont allemands, mais je suis née en Italie et j'y ai passé mon enfance » Katherina accompagna sa phrase d'un sourire timide.

    Bon franchement là ce n'était qu'un demi mensonge, et ça pouvait être crédible. Elle était Italienne, d'un père étranger, et l'histoire de parents Allemand travaillant à l'étranger n'était absolument pas tiré par les cheveux. Mais Assez parlé de Katherina.

    « Russe ? Il m'a semblait reconnaître cet accent un peu … guttural … sans vouloir vous offenser. »

    Katherina ou Stefani regarda un peu autour d'elle. Bon deux choix s'offraient à elle. Soit elle faisait en sorte que la discussion s'arrête ici, soit elle la faisait continuer, mais pas ici. Notre Italienne fit alors mine de réfléchir et reprit la parole,

    « Ah oui … elle ma aussi demandait de vous dire que c'était de la part de … Lucie ... » Minant l'incompréhension.

    Lucie, qu'est ce que c'était ? Tout simplement le nom sous lequel elle était identifié pour les contrats. Mais franchement vous n'écoutez rien ? Bref. Sentant une odeur de café lui arriver aux narines, transportée par un petit vent froid, une idée vint à Katherina.

    « Vous permettez que je vous offre un café ? »
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